Les nuits blanches d’Arkhangelsk ne finissent pas. Les artistes ont rempli le vide sidéral d’une ville qui me semblait morte la première fois. Les rues se sont un peu animées et suis allé y voir, parfois surpris, d’autres fois éberlué, souvent ému. Il faut avoir du cœur pour imaginer qu’il est toujours possible de donner du bonheur aux gens surtout en les bousculant. Il y a des fous qui y croyaient : Pascal, Doumé, Boubouche, Viktor, quelques autres. Moi, il me suffisait d’être là et d’attendre qu’il se passe quelque chose ou qu’il ne se passe rien. Souvent, un tramway un peu chaotique passait, indifférent.
2 responses to Arkhangelsk 1996/97
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super Philippe j’aime comme on dit aujourd’hui et que de beaux souvenirs en effet.On parle d’y retourner faire des photos flashflesh en 2014 alors tu veux etre des notres ? Pascal
Et pourquoi pas ?